le-fouineur-de-saint-aubin

le-fouineur-de-saint-aubin

Santé


Nos enfants en danger ? A voir ce soir sur France2, l'émission Cas Investigation

Ce Mardi 2 février Cas Investigation sur France 2 à 20h50
Produits chimiques : nos enfants en danger
Documentaire de Martin Boudot

 

Nous vous invitons à diffuser l’information et regarder ce mardi  en début de soirée sur France 2 le « Cash Investigation » consacré à l’impact des pesticides sur la santé.  Générations Futures y a grandement travaillé en relation étroite avec le journaliste Martin Boudot pendant près d’un an et le résultat en valait vraiment la peine, vous le verrez !

Le documentaire réalisé, grâce en partie à nos informations, notre expertise et sur la base de certaines de nos actions (vous y verrez un clin d’œil à l’une de nos enquêtes « cheveux »), est de grande qualité et nous sera très utile pour faire avancer nos dossiers.

Pour information, un livre sera publié le 03/02 sur la base de cette enquête et Générations Futures y apparaît en bonne place.

Grâce à votre soutien, l'information progresse.

Merci à ceux qui soutiennent Générations Futures.

Pour ceux qui ne sont pas encore avec nous, c'est ici

 


02/02/2016
1 Poster un commentaire

Inauguration de la Clinique Psychiatrique de Vernon

Je vous invite à regarder la video de José Alcala sur l'inauguration de la nouvelle clinique de Vernon.

https://www.youtube.com/watch?v=kZjNvU7IITs&feature=em-subs_digest-g


12/11/2015
0 Poster un commentaire

Pollution des sédiments de la Seine par du Plutonium

Vous avez tous entendu ou lu cette nouvelle incroyable que les sédiments sous l'eau de la Seine abritent du plutonium, trouvés à Bouafles et dans le port de Rouen.

"Selon les études menées par le laboratoire de Cherbourg-Octeville de l’IRSN dans le cadre du programme Rhapsodis (Reconstitution de l’historique des apports particuliers à la Seine par l’observation de leur intégration sédimentaire), en particulier dans la darse des docks à l’aval de Rouen, et dans un bras mort du fleuve situé à Bouafles (Eure), en amont de la ville et du barrage de Poses, ces dépôts de plutonium dateraient de 1961, puis de 1975. L’origine précise du plus ancien n’a pas pu être déterminée. En revanche, selon l’ASN après enquête auprès des exploitants nucléaires potentiellement concernés, le marquage des sédiments correspondant à l’année 1975 serait lié aux activités que le CEA (Commissariat à l’énergie atomique) menait sur son site de Fontenay-aux-Roses. Hypothèse confirmée par le CEA, qui menait à l’époque des études sur les procédés de retraitement et de séparation des transuraniens, c’est-à-dire des radioéléments dont le numéro atomique est supérieur à celui de l’uranium. Le plutonium en est un."

« Concernant les sédiments datant de 1975, il convient de rappeler que, depuis leur création, les installations du CEA de Fontenay-aux-Roses sont autorisées à rejeter des effluents liquides dans les réseaux d’eaux usées, sous certaines conditions. Ces effluents ont pu être rejetés directement en Seine ou être traités par la station d’épuration d’Achères avant leur rejet en Seine. Les boues de la station d’épuration issues du traitement ont pu par ailleurs être épandues dans les champs voisins », précise l’ASN.

Là, je m'étrangle d'indignation ! C'est cool, le CEA avait le droit de polluer donc il n'est pas fautif, ni ceux qui répandent les boues des stations dépuration dans les champs ! Vous allez me dire, maintenant, on fait du compost avec ces boues, et bien diluées dans des tonnes de déchets, le plutonium est bien caché .... car il est toujours dans les composts !

Les informations entre guillemets,  sont extraites d' un article de Paris-Normandie :

http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/800664/actualites%20societe/du-plutonium-en-seine#.U6KmcY2KDIU

La période du plutonium 239 est de 24000 ans, c'est à dire que pour que la moitié des atomes de plutonium se désagrège, il faudra 24000 ans ! C'est donc bien normal de trouver du plutonium des années 60-75 dans les sédiments de la Seine.

De Fontenay aux Roses à Rouen, le plutonium a fait du chemin.... On peut supposer qu'il y en a tout le long du fleuve, jusqu'en baie de Seine et aussi dans la mer ? Mais voilà dans les sédiments, il reste dans le lit du fleuve, et c'est ce que a fait la surprise. Depuis 1975, le plutonium aurait du couler avec les eaux du fleuve, et pas vu pas pris ! Dans les champs, et bien en mangeant les céréales, nous risquons de l'ingérer.Le plutonium est en partie éliminée des organismes sauf que pendant son trajet, il bombarde sa radioactivité au niveau des cellules. La moindre trace de Plutonium est potentiellement dangereuse. Les poissons de la Seine peuvent très bien en avaler et l'imprudent qui mange les poissons de sa pêche  pourra des années plus tard développer un cancer . 

Cette pollution n'est pas anodine même si on nous dit que c'est moins dangereux que la radioactivité naturelle... un argument qui ne tient pas :

L'ASN " a ensuite demandé à l’IRSN et au CEA une évaluation de l’impact dosimétrique maximal de ces rejets sur les populations les plus exposées, tels les agriculteurs et les égoutiers. « L’ASN considère que cet impact, évalué à un maximum de 0,12 mSv [milliSievert, N.D.L.R.] par an, est faible et ne devrait pas entraîner de risque sanitaire. À titre de comparaison, la dose annuelle moyenne due à la radioactivité naturelle que reçoit un individu en France est de l’ordre de 2,4 mSv et la dose moyenne due aux examens médicaux est de 1,3 mSv », précise l’organisme."

Remarquez bien, le "ne devrait pas ", le conditionnel marque l'incertitude !

Ensuite, l'exposition à la radioactivité exagérée même médicale n'est pas bonne pour les organismes : il n'est pas utile d'ajouter à la radioactivité naturelle que nous subissons mais que nous pouvons supporter , une radioactivité artificielle qui fait ses dégâts, de l'intérieur du corps. 

Soyez prudents, ne mangez pas les poissons de la Seine, en plus ils sont atteints par d'autres polluants, pesticides, métaux lourds, PCB, hydrocarbures et j'en oublie :  d'ailleurs, je crois bien que c'est interdit...


31/07/2014
0 Poster un commentaire

villes et villages sans pesticides et villes et villages bios

 la 9ème Semaine pour les Alternatives aux Pesticides 20 au 30 mars  s'est déroulée cette année sur fond d'élections municipales.Les impacts des pesticides sur notre santé (débat sur les perturbateurs endocriniens) et sur notre environnement (pollution des eaux, extinction des abeilles) est au cœur du débat public.

Générations futures, une association qui se bat notamment, contre  les pesticides et leurs conséquences sur la santé des  agriculteurs qui les utilisent . Les particuliers, les collectivités se doivent aussi de changer leurs pratiques vis à vis des pesticides. D'ailleurs,  Début 2014, une loi a été adoptée par le parlement français visant à interdire à terme l’usage des pesticides dans les zones urbaines et à la vente aux non professionnels, oui mais voilà son entrée en vigueur ne se fera qu’en 2020 et 2022 et des dérogations seront toujours possibles. En outre cette loi ne concerne pas le milieu agricole qui reste – et de loin – le premier utilisateur des pesticides.

Générations Futures pense que nous ne devons pas attendre l'effet lointain de cette loi mais que nous devons, citoyens responsables , prendre en charge notre propre destin !

« Il reste donc crucial de poursuivre le travail de sensibilisation et d’information de la population et des dirigeants sur les dangers des pesticides et leurs alternatives, comme le fait la Semaine pour les alternatives aux pesticides depuis près de 10 ans maintenant. » explique F. Veillerette, porte-parole de Générations Futures

.Dans ce but, vous pouvez interpellez votre Maire tant pour que notre village se trouve sur la carte de France des villages sans pesticides que sur celle des villages de France bios :  kit citoyen 

 


04/04/2014
3 Poster un commentaire

Le fluor ... une imposture ?

En tout cas, il y a bien longtemps que je n'achète plus de dentifrice au fluor . Je viens de recevoir cette information et je vous la partage. Je ne pense pas qu'il y ait  ajout de fluor dans l'eau du robinet distribuée à Saint Aubin .

Cependant, il serait profitable à tous  que les analyses sur l'eau du robinet  soient publiées dans le journal de la Commune plutôt qu'un "vous pouvez boire de l'eau du robinet à volonté sans risque pour votre santé". Tous les habitants de Saint Aubin n'ont pas la possibilité de se déplacer à la Mairie pour voir les analyses qui sont publiées régulièrement. Et je pense qu'il est préférable de s'en tenir à la source plutôt qu'à un jugement particulier. 

Après les travaux pharaoniques pour aller prendre l'eau du côté de Courselles, j'espère que l'eau va être consommable. Bien qu'avec l'antenne-relais sur le château d'eau, je pense que l'eau chez nous, reste suspicieuse. Je ne veux pas croire mais comprendre et si je ne comprends pas, pour moi, le principe de précaution doit s'appliquer.

Cependant, je déplore, que, par ailleurs, on ne cherche pas à améliorer la qualité de l'eau dite potable en contraignant les pollueurs. Un jour, les captages de Port Mort pourraient bien produire de l'eau non conforme, avec toutes les cochonneries qui sont répandues dans les champs ou qu'il sera répandu ( http://advg.over-blog.com/) ; alors on ira capter encore une fois, ailleurs.... s'il y aura encore un ailleurs possible dans le futur ! 


03/03/2014
0 Poster un commentaire


Ces blogs de Actualités locales pourraient vous intéresser